Patricia
Animée par l'idée que le monde est avant tout matière et hasard, je m'appuie sur le mouvement, et sa rencontre avec les couleurs, pour créer des univers aléatoires, d'où jaillissent des éclaboussures, des aspérités fortuites.
Au final, la toile ne semble être que le réceptacle d’une empreinte, celle d’un passage, comme si l’essentiel s’était passé hors cadre...
Au final, la toile ne semble être que le réceptacle d’une empreinte, celle d’un passage, comme si l’essentiel s’était passé hors cadre...
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